REMARQUES CONNEXES par Eberhard Heller
Que l'on réfléchisse en se demandant où nous en sommes dans l'Histoire du Salut: plus de sacrifice de la Messe, depuis 1968 plus de prêtres et d'évêques validement consacrés. Que l'on médite sur toutes les conséquences de cette réalité.
Prenons le cas du prétendu cardinal Ratzinger: cardinal, il ne peut guère l'être,
a) parce qu'il a été nommé par un hérétique usurpant le Saint-Siège; b) parce que lui-même était inéligible à une charge dans l'Église à cause de ca propre hérésie. (cf les analyses détaillées concernant sa conception de l'eucharistie dans le bulletin de liaison de la SAKA d'avril et mai 1981). Son sacre épiscopal est aussi invalidé par cette même cause.
Alors, c'est le professeur Ratzinger? Même pas. A l'exemple des trois médecins du IIIe Reich qui se virent retirer le droit d'excercer parce qu'ils avaient pris part à des expériences d'euthanasie, il doit lui aussi être privé des titres de professeur et de docteur en théologie. Il n'est rien de plus qu'un prêtre hérétique.
Ayant sous les yeux la totale désagrégation de l'Église, déguisée en mascarade pour les badauds, l'évêque hérétique Graber que maint illusionniste considère toujours comme susceptible de conversion - je ne voudrais exclure personne de la grâce de Dieu, mais à nous humains, il ne nous reste dans la plupart des cas qu'à prier pour ces égarés a osé écrire sur le mode sérieux: "Ce qui s'accomplit aujourd'hui dans l'espace ecclésial, ne doit pas nous plonger dans le trouble. Malgre tous les assauts lancés de droite et de gauche l'Esprit Saint régit l'Église. En ce qui concerne le concile, il a tout arrangé pour qu'à travers les turbulences de notre temps, l'Église aperçoive plus clairement sonbut, afin que, communauté pérénigrante du Seigneur, elle s'avance à travers le désert de ce monde à la rencontre du Christ, "obviam Christo" (I Thess. IV, 17) Oui, il semble que commence à se réaliser la vision de l'abbé Joachim de Flore († 1202) qui rêvèd'un âge johannique de l'Église, pendant lequel l'amour du Saint-Esprit prévaudra.
N'est-il pas frappant que trois papes contemporains se soient adjoint le nom de Jean, le disciple préféré et que le concile parle de l'amour en des expressio ns qui méritèrent d'être rassemblées en un nouvel hymne à l'amour" (cf Graber, Rudolph - Mutation formelle de l'Église, page 30, Abensberg, 1979).
Quelle dérision!
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